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Katharine Cooper une bien belle photographe




Nous rencontrons Katharine Cooper dans le jardin déliceueusement ombragé du Calandal pour notre enregistrement Bla-Bla d'Arles à écouter (ICI).

Collab' @Mcamois


Nous sommes immédiatement séduites par cette belle photographe, à la voix chaude et envoûtante que vous pourrez écouter (ici)...Elle nous parle de sa vie, de ses envies et de son dernier livre "Alepp mon Amour" - Anaud Bizalion Editeur.


Elle quitte l’Afrique du sud  à l’âge de huit ans pour s’installer au Zimbabwe. Elle est scolarisée chez les Sœurs Dominicaines à Harare, avant de quitter l’Afrique en 1999 pour le Royaume-Uni, où elle poursuit ses études de photographie. Elle s’installe en France en 2001 et intègre l’École Nationale Supérieure de la Photographie (ENSP) à Arles dont elle est diplômée en 2004. Pendant la décennie suivante, la jeune photographe fait partie de l’équipe de Lucien Clergue, tirant les négatifs du célèbre photographe jusqu’à sa mort en 2014.  


Katharine Cooper est lauréate du Prix Photo Marc Ladreit de Lacharrière de l’Académie des Beaux-Arts pour sa série "Les Blancs Africains" en 2012. Elle collabore à l’exposition "Lucien Clergue, Les Premiers Albums"  au Grand Palais à Paris en 2015.

 La même année, elle commence une nouvelle aventure au Proche Orient avec une série de portraits sur les minorités chrétiennes et yézidis en Iraq.  Elle s’attache à une série sur les femmes combattantes kurdes.  Elle est l’une des premières "femme-photographe" à entrer à Palmyre libérée en mars 2016.


Elle utilise l’Hasselblad moyen format analogue pour prendre ses photos. Elle encadre régulièrement des stages photographiques à Arles et dans les Cévennes. Ses œuvres font partie de diverses collections privées internationales. 


Katharine Cooper vit et travaille à Arles. Elle est représentée par Flatland Gallery, Amsterdam












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